Chanter avant de jouer
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Chanter avant de jouer
La difficulté dans la musique, c'est d'entendre. Inutile de préciser que dans la soupe techno-bêtifiante il n'y a rien à entendre.
J'ai évoqué dans un autre sujet la nécessité de danser puis de chanter avant de jouer. Cette démarche est véritablement indispensable.
Pour entendre et chanter, chacun peut trouver ses propres procédés. Cependant, rien ne remplacera la pratique des gammes et des arpèges* (majeurs, mineurs, diminués, brisés). C'est le stock dans lequel on peut puiser les idées après s'être familiarisé d'oreille avec les intervalles.
* Ne pas confondre l'arpège avec le simple fait d'égréner un accord.
Faire des gammes sans savoir pourquoi conduit à la lassitude et à l'échec en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire. Ce travail est nécessairement relié à la théorie des accords, à la connaissance des degrés et à l'harmonisation.
Le plus important au bout du compte (ou du conte puisque c'est une histoire qu'on se raconte), c'est encore une fois de considérer que les doigts ne savent rien faire sans l'intervention du cerveau : base élémentaire de la psychomotricité. Il faut alimenter ce cerveau comme une banque de données et lui faire confiance sur sa capacité à restituer les acquis.
J'ai évoqué dans un autre sujet la nécessité de danser puis de chanter avant de jouer. Cette démarche est véritablement indispensable.
Pour entendre et chanter, chacun peut trouver ses propres procédés. Cependant, rien ne remplacera la pratique des gammes et des arpèges* (majeurs, mineurs, diminués, brisés). C'est le stock dans lequel on peut puiser les idées après s'être familiarisé d'oreille avec les intervalles.
* Ne pas confondre l'arpège avec le simple fait d'égréner un accord.
Faire des gammes sans savoir pourquoi conduit à la lassitude et à l'échec en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire. Ce travail est nécessairement relié à la théorie des accords, à la connaissance des degrés et à l'harmonisation.
Le plus important au bout du compte (ou du conte puisque c'est une histoire qu'on se raconte), c'est encore une fois de considérer que les doigts ne savent rien faire sans l'intervention du cerveau : base élémentaire de la psychomotricité. Il faut alimenter ce cerveau comme une banque de données et lui faire confiance sur sa capacité à restituer les acquis.
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